Le jour est venu
Où ton pas avance sans le mien
Que l’horizon ne t’abrite plus
Tout s’en trouve bien
Deux soleils venus
Partis en différents chemins
Prendre le temps du temps
Voir s’éloigner et pourtant
S’écouter respirer dans le temps
Ne jamais oublier pour autant
Un sourire se figeant
Dans le temps
Deux astres sur des orbites
Aux apogées opposées
Bien que joins d’un passé tacite
Ces voies célestes aux univers éloignés
De nouvelles étoiles abritent
Vies de paix retrouvé

Vaudelaire 
Poète des pauvres et pôvre pouète


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