Reading the words of past
Your present thrown in thy face
My eyes filled with tears of dust
Striving in this ocean of sand
Without sail, the horizon fast
The wind of time turns its face
Looking astray, my shore’s a dust
From an afar life it bans
Feeling the void you cast
That shroud without cloud I face
A glimpse of light, soon turned to dust
That red knife in your hand
Once, one we were as
Twin suns, warmth in our embrace
Now looking like deserts of dust
Eclipse of the Moon, I strand
The shadows of time past
A window on an empty space
Gazing the wind and never-ending dust
Lost in an ocean of quicksand
Will the sunrise be one day colorfast
The meeting of life printed on our faces
Shimmering eyes free of dust
Walking heart and mind we understand ?
Walking the road hand in hand
Walking life and friendship on land
Walking away from wasteland
Walking as dancing music land
Walking, dancing, looking … living.
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Pépin d’avenir

Ton pépin qui rassemble tout mon amour
Toi, graine de vie
Croissance et miracle d’une saison qui court
Toi, essence de ma vie
Ton chant en mon sein qui fait le troubadour
Toi, musique de l’avenir
Toi, graine de vie
Croissance et miracle d’une saison qui court
Toi, essence de ma vie
Ton chant en mon sein qui fait le troubadour
Toi, musique de l’avenir
Je t’attend comme la semence de notre arbre
Cette forêt de bourgeons qui sabrent
La médiocrité de ses balafres
Cette forêt de bourgeons qui sabrent
La médiocrité de ses balafres
Semons les racines du temps
Toi, et moi, ta maman.
Toi, et moi, ta maman.
À une amie …
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De la mer au moulin
Un autre ruisseau qui s’efface dans la fertile terre
Chaque pas vers la mer
Est balayé du souffle du destin
Tout disparait sans dessein
La vie tourne son moulin sous le vent du présent emportant les rêves et les espoirs d’un demain sans histoire, moulant le blé d’une moisson qui ne se récolte plus, laissée dans un champs aride et sans pluie, où même le soleil ne brille qu’indirectement et que le souffle ne chante que pour les fleurs et les arbres distants, réduisant au silence le buisson esseulé dans une forêt de quatre murs.

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Le sable de l’âme … enfin, quelque chose comme ça
Salut les ami(e)s !
Vaudelaire
Poète des pauvres et pôvre pouète
mars 2009
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