La perte d’une âme complice est aussi pénible parfois que la perte d’un être Aimé. Le vide autour qui perpétue son point d’orgue; résonances consonantes de silences en contre-point. La lourdeur des liaisons laisse les notes en suspension comme si nul attachement ne vibrait. Faux qu’est cette impression de chant libre, lorsque le champs est rasé et labouré à chaque saison comme une perpétuelle répétition.
L’attente du signal du chef de cet orchestre vide, quitté de ses artisans; moment d’anticipation comme le vent attendu pour assécher la pluie. Les vrilles de mon esprit, tourments alimentés par le vide, en triolets, sans pause aucune en soutien à cette gamme.
Un signe … une note … une clé .
Point d’orgue …..
(vieux texte de 2012)
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