Les ailes d’Abigaëlle

“En cette journée de sensibilisation au deuil périnatal, je dédie ce message d’espoir à tous les parents esseulés et dans la peine de la perte d’un joyaux… “

Le temps qui s’écoule comme le vent contre un moulin
Sans compter ses pas, le sourire de la vie sans fin
On voit apparaitre un rayon de lumière, caresse des yeux
On sent le souffle de ce parfum des cieux.
ce qui vole
  ne s’y colle
puis s’envole
  et rend folle
On compte les espaces, vides sidéraux, qui s’égrènent
Les tripes s’accrochent aux poumons des demains sans peine
Un parfum, une fleur qui fane, une pluie sans eau
Le torrent des stupeurs qui saisi notre oiseau
ce qui vole
  nous colle
puis s’envole
  avec Éole
Le vide qui se cri dans un souffle éteint, arrêt du moulin
Jamais ce temps ne sera compté, jamais ne sera fin
On rêve de cette lumière, marque de feu dans nos yeux
Sans toucher, sans humer, ce parfum des cieux.
ce qui vola
  se voila
et que voilà
  au-delà
La trace de la moisson de notre coeur batera sur nos plaies
Le pain de notre avenir, moulu de nos espoirs, était
Mais le doux vent soufflera des plaines sur le moulin
Et on sentira son souffle et son parfum moudre sans fin.
En mémoire à toi, à elle, à lui, à vous tous parties 
Dans un bruissement d’ailes, en souvenir d’un paradis.

Vaudelaire 
Poète des pauvres et pôvre pouète


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Un océan de paix … ou de troubles

La vie est souvent tel un miroir d’eau où seul notre reflet nous incombe. Et bien qu’il pourrait être agrémenté d’agréable voiliers, on leur épargne des naufrages et des coques brisés. Car c’est alors que le miroir devient trouble avec une mousson renversante, d’une main imprévue, bien qu’ingénue, sur le flanc d’une rive embrochée.

On doit se regarder dans ce miroir, y voir le fond de notre océan, y ratisser la vie qui s’y cache, y boire notre histoire. 

Vaudelaire
Poète des pauvres et pôvre pouète

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