La féminité est une fleur
Sur les pores de la vie
De sa forte douceur
Son chemin elle construit
Enracinée dans la terre
Elle fait son bonheur
Arrosée d’envie
Qui glisse avec ardeur
Sur autrui

La féminité est une fleur
Sur les pores de la vie
De sa forte douceur
Son chemin elle construit
Enracinée dans la terre
Elle fait son bonheur
Arrosée d’envie
Qui glisse avec ardeur
Sur autrui
Elle a la douceur
D’une rosée du matin
Du printemps, la fraicheur
D’une jeunesse sans fin
Son corps dérape
Sous la vague démente
De passion, la frappent
Ses envies latentes
Elle fait sable blond
Dans le sablier du temps
Son regard sans fond
De tendresse, enveloppant
Au travers sa nuit
Où le jour se lèvera
La noirceur l’envie
Puis, la fleur s’épanouira
Elle est le soleil fonceur
Caressant la rosée du matin
Du printemps, l’heure
Sa jeunesse sans fin
Tu es cette éternelle fleur
Dans ce champs aujourd’hui disparu
Comment vivre, j’en ai peur
Sans ce chant une fois entendu
Fleuries ritournelles de cœur
Dans ce pan d’une vision aperçu
Un rayon de miel danseur
Sans ce vent de souvenirs perdus
Je vois encore ta lumière répandue