Elle a la douceur
D’une rosée du matin
Du printemps, la fraicheur
D’une jeunesse sans fin

Son corps dérape
Sous la vague démente
De passion, la frappent
Ses envies latentes
Elle fait sable blond
Dans le sablier du temps
Son regard sans fond
De tendresse, enveloppant
Au travers sa nuit
Où le jour se lèvera
La noirceur l’envie
Puis, la fleur s’épanouira
Elle est le soleil fonceur
Caressant la rosée du matin
Du printemps, l’heure
Sa jeunesse sans fin