Trottinant sur le sentier humide
Dans l’air d’apparence vide
Cherche la croisée Cupidon
Pour fleurir sa corporelle saison
La saison morte au sol fluide
Son accompagné pas demeure impavide
Flanquée qu’elle est de sa compagnon
Fidèle et jamais grognon
Sur son visage, de couleurs vivides,
Des yeux emplis d’un sourire perséide
Son corps endurcie de centurion
Rêve de caressantes passions

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