Lorsque ta langue s’allonge sur mes secrets devant toi mis à nus
Que ton regard, lit de passion, dévoile les tentations
Extirpant le mystérieux, l’insondable, mais palpable
Que les corps célestes, enlacés, noyés de cette voie lactée
Seulement là, trouves-tu la voix du silence interrompu
Le cri qui dicte les mots dénudées, soumis à tes règles enflammées
Extase ! Fresque de feu et de sens !
Une nouvelle page blanche qui se dit franche
Allongé que le lot y est de ses mots
Nus et non superflus !
«Pour toi qui se languie de ces lointains mots»
Vaudelaire
Poète des pauvres et pôvre pouète
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