Entendre le son de sa voix
Comme un chant des carillons 
Qui résonnent dans ma nuit
Et frissonnent mon insomnie

Mémoire du chant de douceur
De son “Allô” enchanteur 
Qui illumine ma nuit 
Et culmine mon insomnie. 


Le tranchant de sa froidure
Qui blesse ma vision d’elle
Qui provoque la nuit
Malgré l’insondable insomnie 


Son chant est malgré proie
Plus puissant que les clochers
Apaisant mes nuits
Souhaitant endormir cette insomnie. 

Vaudelaire
Poète des pauvres et pôvre pouète

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