Au soleil levant, je caresse le sourire mielleux, dépose sur une vierge nuque des frôlements délicats et tièdes.

Frottements de draps dissimulants des étreintes matinales, survivantes de nuits tropicales et mièvres.

Devinant des courbes cachées aux regards mais dévoilées aux touchers , les amants s’éveillent toujours vibrants de leur fantaisie.

Lèvres déposées l’une contre l’autre, langues tendres mais insistantes, les corps se dressent contre le jour … et la boiserie.

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *