Rebondissent sur mes espoirs
Les rêvés bonds de solitaires soirs
La peau du temps, velours des désirs
Lie les corps célestes de soupirs
Les chaudes étreintes enchâssées
Ne sont que constellations imaginées

Silencieusement coule l’encre sans jardin
Sereine et glacée rivière du matin
Les tressées racines de la vie
À l’aveugle sont enfouies

Draps contour
Sans amour
Le troubadour
Ne voit le jour

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