Tu fus l’écrin sur mon chemin
Le blond allongé du matin
L’azur au regard satin
La papillon aux desseins

Tu fus l’étendu aux horizons
La lumière moisson
Au jardin des passions
Aux dessins de papillons

Tu fus le frôlement enfantin
Le velouté grain
Un chant sous la main
Papillon non saint

Tu fus lueur en médaillon
Aux faces lunaisons
Brillante caméléon
Des seins papillons

Ce qui fut, maintenant perdu
Était rêve éperdu
Celle qui fut connue
Devenue l’inconnue

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