Tu fus le printemps dans mon hiver
Le coloré été dans mon enfer
Les liens de la terre
Ne furent qu’éphémères

Cette page remplie de chimères
Sans ce je ne saurais faire
Pour ta fleur dans ses vers
Et ses rimes, me libèrent

Pour toujours, demain gardera hier
De bonheur et de lumière
Ta vie en sera familière
Et pour moi, passée saison sanctuaire

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