Elle a la douceur
D’une rosée du matin
Du printemps, la fraicheur
D’une jeunesse sans fin

© Benoit Champagne.com

Son corps dérape
Sous la vague démente
De passion, la frappent
Ses envies latentes

Elle fait sable blond
Dans le sablier du temps
Son regard sans fond
De tendresse, enveloppant

Au travers sa nuit
Où le jour se lèvera
La noirceur l’envie
Puis, la fleur s’épanouira

Elle est le soleil fonceur
Caressant la rosée du matin
Du printemps, l’heure
Sa jeunesse sans fin

Please follow and like us:

Laisser un commentaire

Votre adresse courriel ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *