Fait la lecture de ta vie
Comme le parfum matinal
Pour caresser de vent
Tes cheveux de notre nuit
Mes mots seront ensoleillés
Je serai velouté ou corsé

La prose, sur la cuisse
Le verbe désirer, y dépose
L’y nourrir le papillon
De gorgés veloutées
Tu vibres d’histoires d’hiers
Et danse ton imaginaire
Deux atomes aux rencontres
Invariablement déconvenues
Projetés sur l’éphémère instant
Séparés de réalités
Tissés de plaisirs
Liés de souvenirs
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